Plus de 260 000 étudiants étrangers, soit environ 12% de la population étudiante, ont choisi d’étudier en France, ce qui fait d’elle le troisième pays d’accueil après les États-Unis et le Royaume-Uni.
« Bénéficier d’une tradition de recherche et d’innovation scientifiques et technologiques de premier plan »
La France doit ses performances à sa capacité de recherche et à ses réussites dans des domaines aussi divers que l’espace, les transports, l’électronique, les télécommunications, la chimie, les biotechnologies, la santé et les mathématiques.
La mise en oeuvre des Pôles de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES), nouvel outil d’échange et de mutualisation entre enseignement supérieur et recherche, réaffirme la volonté de maintenir les performances françaises au niveau international.
5e puissance économique mondiale, la France est aussi l’un des pays les plus ouverts aux investissements étrangers.
« Intégrer un des systèmes d’enseignement les plus diversifiés et les plus performants »
Issue d’une longue tradition, l’excellence des formations françaises s’appuie sur un réseau national de plus de 3500 établissements d’enseignement supérieur publics et privés et de centres de recherche de renommée internationale : 83 universités, environ 205 écoles d’ingénieur, 200 écoles de commerce et management, 120 écoles supérieures d’art publiques, 20 écoles d’architecture.
S’y ajoutent plus de 3000 autres établissements, écoles ou instituts spécialisés qui concernent des secteurs spécifiques comme les carrières sociales, le paramédical, le tourisme, le sport, la mode, le design, ou encore les lycées préparant au Brevet de technicien spécialisé (BTS) ou aux concours d’entrée dans les grandes écoles (CPGE).
« Assurer la qualité de sa formation »
En 2009, 27,6 milliards d’euros, soit 1,4% du PIB, ont été consacrés uniquement à l’enseignement supérieur. Ce financement assure l’exigence et la garantie de qualité des diplômes délivrés.
Dans les établissements publics, l’État prend directement en charge une part très importante du coût réel des études de chaque étudiant (de 8000 à 14 000 euros par an). Ce dispositif national permet de maintenir le coût des frais d’inscription à l’un des niveaux les moins élevés du monde, tout en garantissant la qualité des diplômes délivrés.
Il n’est fait aucune distinction entre les étudiants étrangers et les étudiants français : les exigences d’accès sont identiques, les diplômes délivrés et les coûts d’inscription sont les mêmes, quelle que soit la nationalité des étudiants
« L’Europe »
La France fait partie intégrante de l’espace européen de l’enseignement supérieur, ce qui permet à tout étudiant étranger inscrit dans un établissement français d’effectuer une partie de son cursus dans un autre Etat européen membre. L’harmonisation des niveaux d’études entre les différents pays membres permet la reconnaissance des diplômes au sein de cet espace.
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